«Moïse répondit au peuple: Ne craignez rien, restez en place, et regardez la délivrance que l'Éternel va vous accorder en ce jour; carles Égyptiens que vous voyez aujourd'hui, vous ne les verrez plus jamais. L'Éternel combattra pour vous; et vous, gardez le silence» (Exode 14:13, 14, LSG).
« Moïse, qui implorait le ciel, Dieu répondit: “Pourquoi cries-tu vers moi? Dis aux enfants d’Israël de se mettre en marche. Quant à toi, lève ton bâton, élève ta main vers la mer, et fends-là: les enfants d’Israël passeront au milieu de la mer à pied sec.” Patriarches et Prophètes, p. 257.2
« Décrivant plus tard le passage d’Israël au travers de la mer Rouge, le Psalmiste chantera: PP 257.3 Tu te fis un chemin dans la mer, Un sentier dans les grandes eaux,
Sans qu’on pût reconnaître ta trace. Tu as conduit ton peuple comme un troupeau,
Par la main de Moïse et d’Aaron. PP 257.4 Sur l’ordre de Dieu, Moïse étendit son bâton, et les eaux de la mer se séparèrent de manière à former deux murailles entre lesquelles Israël s’avança à pied sec. La lumière provenant de la colonne de nuée faisait étinceler les cimes argentées des vagues immobiles et illuminait ce large passage tracé dans les entrailles de la mer, et qui se perdait dans l’obscurité de la rive opposée. Patriarches et Prophètes, p. 257.5
« Réveille-toi, réveille-toi! revêts-toi de force, bras de l'Éternel! Réveille-toi, comme aux jours d'autrefois, Dans les anciens âges! N'est-ce pas toi qui abattis l'Égypte, Qui transperças le monstre? N'est-ce pas toi qui mis à sec la mer, Les eaux du grand abîme, Qui frayas dans les profondeurs de la mer Un chemin pour le passage des rachetés? » Esa. 51 : 9, 10
Comme il serait illogique que Dieu essaie de se réveiller Lui-même, comme si Lui, ou Son propre bras, était endormi ! Ce verset montre qu'Il appelle Son bras, le mouvement de l'Exode son bras. À juste titre, car Dieu accomplit Son œuvre à l’aide de Ses serviteurs. Ces derniers sont donc son bras, ils jugeront (gouverneront) le peuple, et celui-ci aura confiance en eux.
Lisez Exode 12:31–36. Quelle demande étrange Pharaon fit-il, et pourquoi, alors même qu’il avait accordé la permission à tous de partir?
« Humilié jusqu’en terre dans son orgueil impie, il convoqua en pleine nuit Moïse et Aaron, et leur dit: “Levez-vous! Sortez du milieu de mon peuple, vous et les enfants d’Israël. Allez servir l’Éternel, comme vous l’avez dit! Prenez aussi vos brebis et vos bœufs, comme vous l’avez demandé; allez, et bénissez-moi!” Les conseillers royaux, aussi bien que les Égyptiens, “pressaient le peuple pour le faire sortir au plus tôt du pays; car ils disaient: Nous allons tous périr!” PP 252.2
« Les merveilleuses bénédictions accordées aux Israélites, lorsqu'ils furent délivrés du joug égyptien et occupèrent la terre promise, amenèrent de nombreux païens à reconnaître dans le Dieu d'Israël le souverain suprême. “Les Egyptiens connaîtront, avait-il été promis à Moïse, que Je suis l'Eternel, lorsque J'étendrai ma main sur l'Egypte, et que Je ferai sortir du milieu d'eux les enfants d'Israël.”6Exode 7:5. L'orgueilleux pharaon même fut obligé de reconnaître la puissance de Jéhovah. “Allez, déclara-t-il à Moïse et Aaron, servez l'Eternel, ... allez, et bénissez-moi.” » Prophètes et Rois, p. 284.4
« En avançant au pays de Canaan, les armées d'Israël constatèrent que les hauts faits du Dieu des Hébreux les avaient précédées, et que certains païens reconnaissaient que lui seul était le vrai Dieu. Voici le témoignage que rendit une païenne de la ville pervertie de Jéricho: “Car c'est l'Eternel, votre Dieu, qui est Dieu en haut dans les cieux et en bas sur la terre.”Josué 2:11. La connaissance qui lui était parvenue au sujet de Jéhovah l'assurait de son salut. Par la foi “Rahab, la prostituée, ne périt pas avec les rebelles.” Hébreux 11:31. Et sa conversion ne fut pas un acte isolé, dû à la grâce de Dieu en faveur des idolâtres qui reconnurent la divine autorité du Sauveur. Un peuple idolâtre, situé à l'intérieur du pays — les Gabaonites — abandonna son idolâtrie et se joignit à Israël, se mettant ainsi au bénéfice de l'alliance ». Prophètes et Rois, p. 285.1
Lisez Exode 13:1-16. Les premiers-nés israélites furent épargnés par la grâce de Dieu lors de la dernière plaie. Pourquoi cette injonction perpétuelle, et que doit-elle signifier pour nous aujourd'hui?
« En reconnaissance de la protection divine qui avait couvert leurs premiers-nés, les enfants d’Israël furent invités à consacrer au Seigneur le premier-né des hommes et du bétail, sans qu’il fût possible de les racheter par une rançon. « Car tout premier-né m'appartient; le jour où j'ai frappé tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, je me suis consacré tous les premiers-nés en Israël, tant des hommes que des animaux: ils m'appartiendront. Je suis l'Éternel » . Plus tard, lors de l’institution des services du tabernacle, Dieu substitua aux premiers-nés la tribu de Lévi. » Car ils me sont entièrement donnés du milieu des enfants d’Israël : Je les ai pris pour moi à la place des premiers-nés, de tous les premiers-nés des enfants d'Israël. Nombres 8:16. Chaque famille était néanmoins tenue, en signe de gratitude, de racheter le fils premier-né par une rançon. » Nombres 18 : 15, 16. Patriarches, p. 249.1
Moïse avait proclamé dans tout le pays que, cette nuit-même, le premier-né de toute habitation où l'on ne trouverait pas de sang sur le montant de la porte, mourrait
Le lendemain, ceux qui avaient désobéi à l'injonction divine se lamentaient et s’occupaient à enterrer leurs morts, tandis que ceux qui avaient obéi au commandement, sortaient des villes joyeusement et en bon ordre. Oui, seuls ceux qui étaient capables de recevoir des ordres furent libérés de l'esclavage. Il est donc indispensable que nous apprenions à obéir aux ordres si nous voulons recevoir le sceau de Dieu sur nos fronts.
« Lorsque Dieu s'apprêtait à frapper les premiers-nés d'Égypte, Il ordonna aux Israélites faire renter leurs enfants dans leurs propres demeures et de marquer les montants de leurs portes avec du sang, afin qu’en le voyant, l’Ange destructeur puisse passer outre. C'était le devoir des parents de rassembler leurs enfants. C'est votre devoir, c'est mon devoir, et c'est le devoir de toute mère qui croit en la vérité. L'ange doit apposer une marque sur le front de tous ceux qui sont séparés du péché et des pécheurs, et l'ange destructeur suivra, pour tuer entièrement jeunes et vieux ». Testimonies Vol.5, 505. 2
Lisez Exode 13:17–14:12. Comment Dieu avait-Il guidé les Israéliteslorsqu'ils ont quitté l'Égypte, et que s'était-il passé ensuite?
« Debout et en silence, les reins ceints et le bâton à la main, le cœur partagé entre la crainte et l’espérance, les Israélites attendaient le décret royal qui devait les chasser du pays d’Égypte. Avant que le jour parut, ils étaient en voyage. Durant les plaies, alors que leurs oppresseurs tremblaient de terreur, prenant confiance, ils s’étaient peu à peu rassemblés dans le territoire de Gossen, ce qui avait facilité l’organisation et le contrôle de cette multitude flottante, de telle sorte qu’au moment du départ, et malgré la soudaineté de la fuite, elle se trouva divisée en compagnies placées sous la conduite de leurs chefs respectifs ». Patriarches, p. 253.1
« Le peuple emmenait avec lui “de nombreux troupeaux de brebis et de bœufs” qui lui appartenaient, car il n’avait pas, comme les Égyptiens, vendu ses biens au roi. Le bétail transporté en Égypte par Jacob et ses fils s’était beaucoup multiplié. En outre, avant de quitter l’Égypte, sur le conseil de Moïse, chacun avait réclamé le salaire de son travail resté sans rémunération, et les Égyptiens étaient trop pressés de se débarrasser de leur présence pour leur refuser quoi que ce fût. C’est ainsi qu’Israël quitta le pays de la servitude, comblé des dépouilles de ses oppresseurs ». Patriarches, p. 254.1
« Le long défilé des Hébreux traversait une plaine inculte et déserte. Le voyage s’avérait long et fatigant, et l’on commençait à se demander où cette aventure allait aboutir. La crainte d’une poursuite de la part des Égyptiens agitait déjà quelques cœurs. Alors l’Éternel révéla à Moïse qu’on allait passer derrière une bande de rochers et camper au bord de la mer. Dieu ajouta que le Pharaon allait se mettre à leur poursuite, mais qu’ils seraient délivrés. » Patriarches, p. 254. p. 4
« Les Hébreux avaient campé au bord d’un bras de mer qui semblait leur opposer une barrière infranchissable, tandis que, vers le sud, une montagne aux flancs escarpés leur barrait le passage. Tout à coup, on vit briller dans le lointain les armures et avancer en rangs serrés les chariots d’avant-garde d’une armée qui, approchant à une allure accélérée, ne tarda pas à paraître au grand complet. L’épouvante gagna tout le camp d’Israël. Les uns se mirent à crier à l’Éternel, tandis que le plus grand nombre se répandait en lamentations et en plaintes contre Moïse. “N’y avait-il donc pas des tombeaux en Égypte, que tu nous aies emmenés pour mourir au désert? Que nous as-tu fait, quand tu nous as fait sortir d’Égypte? Ne te disions-nous pas en Égypte: Laisse-nous servir les Égyptiens; car il vaut mieux pour nous servir les Égyptiens que de mourir dans le désert »...” Patriarches et Prophètes, p. 256.2
Lisez Exode 14:13-31. Malgré leur manque de foi, que fit Dieu pour les enfants d'Israël
« Navré de voir son peuple manifester si peu de foi en un Dieu qui leur avait donné tant de preuves de sa puissance, Moïse se demandait comment on pouvait lui imputer le danger de la situation actuelle, alors qu’il n’avait fait que suivre ponctuellement les directions divines. Quant à lui, malgré une perspective qui semblait désespérée, il n’avait aucune crainte sur l’issue de la crise. D’un ton calme et assuré, il répondit au peuple: “N’ayez point de crainte! Demeurez tranquilles et contemplez la délivrance que l’Éternel va vous accorder en ce jour; car les Égyptiens que vous avez vu aujourd’hui, vous ne les verrez jamais plus. L’Éternel combattra pour vous; et vous, vous n’aurez qu’à rester tranquilles.” Patriarches et Prophètes p. 256.3
« Au moment où l’armée égyptienne, près de rejoindre les Hébreux, croyait déjà tenir sa proie, la colonne de nuée se dressa majestueusement dans les cieux, passa par-dessus le peuple, et vint se placer entre lui et l’ennemi. Dès ce moment, une muraille ténébreuse sépara les assaillants des assaillis. N’apercevant plus le camp des Hébreux, les Égyptiens se virent obligés de s’arrêter. D’autre part, à mesure que les ténèbres de la nuit envahissaient cette scène, la paroi obscure devenait pour Israël un puissant réflecteur inondant tout le camp d’un flot de lumière semblable à l’éclat du jour ». Patriarches et Prophètes, p. 257.2
« L’espérance renaissait dans les cœurs. A Moïse, qui implorait le ciel, Dieu répondit: “Pourquoi cries-tu vers moi? Dis aux enfants d’Israël de se mettre en marche. Quant à toi, lève ton bâton, élève ta main vers la mer, et fends-là: les enfants d’Israël passeront au milieu de la mer à pied sec ».” Patriarches et Prophètes, p. 257.2
« Les Égyptiens se mirent à leur poursuite, et tous les chevaux du Pharaon, ses chars et ses cavaliers entrèrent à leur suite au milieu de la mer. A la dernière veille du matin, l’Éternel, du sein de la colonne de feu et de nuée, regarda le camp des Égyptiens, et il le mit en déroute.”(10)Exode 14:23, 24. PP 258.1 A leurs yeux étonnés, la nuée mystérieuse s’était changée en une colonne de feu, d’où jaillissaient des éclairs et les roulements du tonnerre. PP 258.2 Les nuées se répandirent en torrents d’eau; Les nuages lancèrent la foudre Et tes flèches volèrent de toutes parts. Ton tonnerre gronda dans le tourbillon; Les éclairs illuminèrent le monde; La terre fut ébranlée et trembla ». Patriarches et Prophètes, p. 258.3
« La confusion et l’effroi envahirent le camp des Égyptiens. Enveloppés par les éléments en fureur, où ils reconnaissaient la voix d’un Dieu irrité, ils voulurent revenir sur leurs pas et regagner en hâte le rivage. Mais Moïse, ayant étendu sa main à nouveau, les eaux accumulées, frémissantes, rugissantes et avides de leur proie, s’abattirent avec fracas, engloutissant l’armée égyptienne dans leurs noires profondeurs ». Patriarches & Prophètes p. 258.4
Lisez Exode 15:1-21. Quel est le contenu du cantique de Moïse?
"Le Seigneur fit des merveilles pour le salut de Son peuple. Il lui prépara un passage salutaire au milieu de la mer Rouge. Les eaux s’accumulèrent tel un mur solide, et un chemin de délivrance fut tracé pour les troupes d'Israël sous la conduite de Moïse ». Ellen WHITE , Christ Triumphant, p.106.4
"En poursuivant 'Israël, les vastes armées d'Egypte s'aventurèrent à traverser la mer par le même chemin. Un sombre nuage les précédait, mais elles continuaient à avancer. Lorsque toute l'armée-- « tous les chevaux de Pharaon, ses chars et ses cavaliers » - fut au fond de la mer, le Seigneur dit à Moïse : « Étends ta main sur la mer. » Israël était passé à pied sec, mais il entendait les cris des armées qui le poursuivaient. Lorsque Moïse étendit sa verge au-dessus de la mer, les eaux encaissées, qui formaient un grand mur, reprirent leur cours naturel. De tous les Égyptiens de cette vaste armée, aucun n'échappa à la mort. Tous périrent dans leur détermination à suivre leur propre voie et à refuser celle de Dieu. C'est à cette occasion que prit fin leur temps de grâce ". Ellen WHITE, Christ Triumphant, p. 106.5
« Quand le matin parut, les Hébreux purent contempler tout ce qui restait de leurs puissants ennemis: des cadavres enfermés dans leurs cuirasses gisant sur le rivage. Une seule nuit avait suffi pour délivrer Israël du plus grand des périls. Une foule innombrable et impuissante, composée d’esclaves inaccoutumés au combat, de femmes, d’enfants et de bestiaux, arrêtée par la mer et pressée à l’arrière par une puissante armée, avait vu une voie s’ouvrir devant elle à travers l’élément liquide, et ses ennemis, pris au piège, engloutis dans ce même élément, au moment où ils croyaient tenir la victoire. C’était Dieu qui leur avait apporté la délivrance, et vers lui montèrent leurs accents de gratitude et de confiance. Rempli du Saint-Esprit, Moïse chanta et le peuple entonna à sa suite cet hymne triomphal, le plus ancien et l’un des plus sublimes qui soient connus. » Patriarches & Prophètes, p. 258.5
« Chanté par tout un peuple, ce cantique magnifique monta comme le rugissement de l’océan. Ses échos, répercutés par les monts environnants, traversèrent la mer et le désert. Les femmes d’Israël, Marie, sœur de Moïse, en tête, le reprirent, en s’accompagnant de danses et de tambourins. Par delà le désert et la mer, le refrain joyeux retentit, et les montagnes reprennent les paroles de leur louange : « Chantez à Jéhovah, car il a triomphé avec gloire ». Patriarchs and Prophets, p. 288.2
« Cet hymne, ainsi que la grande délivrance qu’il commémorait, fit sur le peuple hébreu une impression ineffaçable. De siècle en siècle, il fut chanté par les prophètes et les chantres d’Israël pour proclamer que l’Eternel est la force et la délivrance de tous ceux qui se confient en lui. Mais ce cantique n’appartient pas au peuple juif seulement. Il annonce la victoire finale de l’Israël de Dieu et la destruction future de tous les ennemis de la justice. Saint Jean, le prophète de Patmos, contemplant “sur une mer de verre mêlée de feu” les vainqueurs revêtus de robes blanches et munis des “harpes de Dieu”, les entend “chanter le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l’Agneau”.(13)Apocalypse 15:2, 3. Patriaches & Prophètes p. 259.2
Dieu, dans Sa sagesse, amena Israël à la mer Rouge pour son bien, et bien qu'ils n'aient pas pu discerner le plan de Dieu, pour l'amour de Son nom, Il sépara la mer, les fit traverser en toute sécurité, et en même temps, Il utilisa le même miracle, pour détruire leurs ennemis !
Si Moïse avait douté de la puissance et de la manière dont Dieu dirigeait Son peuple, comme les gens qui étaient avec lui, quel effet aurait eu son bâton lorsqu'il frappa la mer ? - Aucun. Si le jugement de l'Infini était le même que le jugement du fini, l'armée de Pharaon aurait tué ou asservi Israël à nouveau.
Leurs puissantes délivrances devraient donc établir à jamais notre confiance en Dieu et constituer un souvenir éternel, montrant que la sagesse des hommes est une folie pour Dieu et que la foi en Lui déplace réellement les montagnes et les mers, également
Malgré ces exemples, les hommes s’attendent toujours à ce que Dieu agisse selon leur jugement, et c'est pourquoi Il utilise parfois des enfants dans Son œuvre au lieu d'hommes sages et prudents. --{
Les Hébreux savaient bien qu'ils avaient été conduits à la mer en suivant la nuée le jour et la colonne de feu la nuit. Pourtant, aucune de ces merveilles ne semblait avoir laissé sur eux une impression durable. Nous risquons, nous aussi, d'oublier le chemin par lequel, le Seigneur nous a conduits .
Aujourd'hui, comme à l'époque de Moïse, nombreux sont ceux qui reproduisent les péchés de ce peuple : Certains sont bouillants un jour, et sont de glace le lendemain. D'autres louent Dieu à tue-tête pendant que leur navire navigue tranquillement, mais lorsque la mer devient agitée et que les vagues commencent à s'abattre sur eux, ils voient simplement un homme à la barre et, au lieu de s’attendre à ce que Dieu calme la mer, ils se mettent en quête d'un lieu sûr pour sauter par-dessus bord. D'autres encore essaient constamment de se mettre en valeur en dénonçant sans cesse ceux qui portent tout le fardeau. C'est ainsi qu'il doit y avoir parmi nous aujourd'hui--des gens qui doutent, des gens qui se plaignent, des gens qui cherchent des positions, et ceux qui cherchent des fautes chez les autres , admettant une grande vérité tel un jour et l'oubliant le jour suivant. Ces derniers s'attendent cependant à être marqués du sceau de Dieu et à se tenir avec l'Agneau sur le Mont Sion !