« Et l'ange me dit: Écris: Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l'agneau! Et il me dit: Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu » . Apo. 19 : 9
« Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, la relation conjugale sert à représenter l’union tendre et sacrée qui existe entre le Christ et son peuple. La joie d’un festin de noces évoquait à l’esprit de Jésus la joie de ce jour où il introduira son Epouse dans la maison du Père, où les rachetés s’assiéront avec le Rédempteur pour le souper des noces de l’Agneau. Il dit: “Comme la fiancée fait la joie de son époux, tu feras la joie de ton Dieu.” “On ne te nommera plus la Délaissée; ... mais on t’appellera: Celle en qui j’ai mis mon plaisir ... car l’Eternel mettra son plaisir en toi.” “Il éprouvera à ton sujet une grande joie; dans son amour pour toi, il gardera le silence; il sera plein d’allégresse à cause de toi!”10Ésaïe 62:5, 4; Sophonie 3:17. Quand la vision des choses célestes lui fut accordée, l’apôtre Jean écrivit: “J’entendis comme la voix d’une foule nombreuse, comme la voix de grandes eaux, et comme la voix de forts tonnerres, disant: Alléluia! Car le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, a établi son règne. Réjouissons-nous, soyons dans l’allégresse et donnons-lui gloire, car les noces de l’Agneau sont venues, et son épouse s’est préparée.” “Heureux ceux qui sont appelés au festin de noces de l’Agneau”.11Apocalypse 19:6, 7, 9. Jésus-Christ, p. 134.4
Lisez Genèse 2:23–25 et Éphésiens 5:29–32. De quelles manières un mariage humain reflète-t-il la relation entre Christ et l’humanité?
« Le mariage qui est une union pour la vie est le symbole de l'union du Christ avec son Eglise. L'Esprit que le Christ manifeste envers son Eglise est le même qui doit régner entre les époux. Ni le mari ni la femme ne doit chercher à dominer. Le Seigneur a posé les principes destinés à nous guider à cet égard ». Conseils à l’Église, p. 101.4
“Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur; 5:23 car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes chose. » Eph. 5:22-24.
“.Il est clair que cette injonction divine impose à la femme de respecter son mari comme elle respecterait le Seigneur, le mari étant le sauveur temporel de la famille, comme le Seigneur est le Sauveur éternel de l'Église "... Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau 5:25, 26. Lorsqu'elle ne tient pas compte de cette injonction divine, elle insulte Dieu.
« Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église ». Eph. 5:25.
La responsabilité du mari à l'égard de sa femme est donc tout aussi inaliénable et sacrée. Il doit la traiter comme le Christ traite son Église. S'il ne le fait pas, il viole la loi du Seigneur
Ainsi, alors que l'Église a le devoir de respect et d'obéissance à son Seigneur, la femme doit respecter et obéir son mari ; et le mari a le devoir d'aimer et de prendre soin de sa femme comme le Seigneur aime et prend soin de son Église. La maison du Seigneur est assimilée à la maison du mari. Par conséquent, de la même manière que le Seigneur contrôle les affaires de Sa maison, l'Église, le mari doit gérer les affaires de sa maison, la famille.
Et comme le bien-être de l'Église dépend de sa coopération avec la volonté du Seigneur, de même le bien-être de la famille dépend de sa coopération avec la volonté du père. Il est donc tout à fait clair que, de même que le Christ est à la tête de l'Église, le père est à la tête du foyer. Et de même que l'Église convertie se réjouit de plaire à son chef, le Christ, de même la femme convertie se réjouit de plaire à son chef, son mari. Dans cet état de bonheur, l'homme et la femme se rendent compte qu'ils sont, après tout, le deuxième moi de l'un et de l'autre
Lisez Ézéchiel 16:4–14. Que nous enseignent les détails de l’exaltation de cette épouse à propos des intentions de Dieu à notre égard?
« Dans le saint Livre, les relations sacrées et permanentes qui existent entre Jésus-Christ et son Eglise sont symbolisées par les liens du mariage. Le Seigneur s’est uni à son peuple par une alliance solennelle. Il lui promet d’être son Dieu, et son peuple, de son côté, s’engage à n’appartenir qu’à lui seul. Dieu lui dit: “Je serai ton fiancé pour toujours; je serai ton fiancé par la justice, la droiture, la grâce et la miséricorde”; “car je suis votre maître”. Et l’apôtre Paul se sert de la même figure dans le Nouveau Testament, quand il dit: “Je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Christ comme une vierge pure.” La Tragédie des Siècles, p. 411
« Quand l’Eglise détourne ses affections de Jésus pour les reporter sur les choses du monde, son infidélité est comparée à la violation du vœu conjugal. Israël s’éloignant du Seigneur est représenté sous cette image, et le merveilleux amour de Dieu, méconnu, est ainsi dépeint: “Je te jurai fidélité, je fis alliance avec toi, dit le Seigneur, l’Eternel, et tu fus à moi.” “Tu étais d’une beauté accomplie, digne de la royauté. Et ta renommée se répandit parmi les nations, à cause de ta beauté; car elle était parfaite, grâce à l’éclat dont je t’avais ornée. ... Mais tu t’es confiée dans ta beauté, et tu t’es prostituée, à la faveur de ton nom.” “Comme une femme est infidèle à celui qui l’aime, ainsi vous m’avez été infidèles, gens de la maison d’Israël.” Tragédie des Siècles 412.1
« Le Nouveau Testament se sert d’un langage analogue à l’égard des soi-disant chrétiens qui apprécient plus hautement la faveur du monde que celle de Dieu. “Adultères que vous êtes! dit l’apôtre Jacques, ne savez-vous pas que l’amour du monde est inimitié contre Dieu? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu.” Tragédie des Siècles 412.1
Comparez Osée 1:2; Osée 3:1; Apocalypse 17:1, 2; et Apocalypse 18:1–4. Quelle est la prostitution mentionnée ici? Quelles leçons l’église chrétienne peut-elle tirer de l’histoire d’Osée? De quelles manières l’église a-t-elle répété les péchés de l’Ancien Testament?
« Babylone est appelée “la mère des impudiques”. Ses filles représentent évidemment les églises qui s’attachent à ses doctrines et à ses traditions, et qui, comme elle, sacrifient la vérité et l’approbation de Dieu pour contracter une alliance illicite avec le monde. Le message annonçant la chute de Babylone concerne des organisations religieuses qui, autrefois pures, se sont corrompues. Etant donné que ce message suit la proclamation de “l’heure du jugement” et se rapporte aux derniers jours, il ne peut désigner l’église catholique seule, “tombée” il y a des siècles. En outre, au dix-huitième chapitre, le “peuple de Dieu” est invité à sortir de Babylone. D’après ce passage, nombre d’enfants de Dieu se trouvent encore dans Babylone. Quels corps religieux recèlent, actuellement, la plus forte proportion de disciples de Jésus? Ce sont, sans aucun doute, les diverses églises professant la foi protestante. Au moment de leur naissance, ces églises ont pris noblement position pour Dieu et pour la vérité, et la bénédiction de Dieu a reposé sur elles. Les non-croyants eux-mêmes ont dû reconnaître les bienfaits qui découlent de l’acceptation des principes de l’Evangile. Pour employer les termes du prophète, “ta renommée se répandit parmi les nations, à cause de ta beauté; car elle était parfaite, grâce à l’éclat dont je t’avais ornée, dit le Seigneur, l’Eternel”. Mais ces églises sont tombées par le péché même qui avait été la cause de la ruine d’Israël: le désir de suivre l’exemple et de gagner l’amitié des impies. “Tu t’es confiée dans ta beauté, et tu t’es prostituée, à la faveur de ton nom.” Tragédie des Siècles 413.1
« La première fois que l'Éternel adressa la parole à Osée, l'Éternel dit à Osée: Va, prends une femme prostituée et des enfants de prostitution; car le pays se prostitue, il abandonne l'Éternel. » Osée 1 : 2.
Le prophète Osée reçut l'ordre de prendre une femme prostituée, pour aucune être raison que celle de dépeindre la situation triste et abominable qui régnait alors en Israël.
Ce mariage n'est bien sûr que visionnaire, tout comme le prophète Ezéchiel reçut l’ordre de se coucher pendant 40 jours et 390 jours de l'autre côté (Ezéchiel . 4:4-6).
Osée 2 : 1-3-- L’ordre donné, « Dîtes à vos frères Ammi ; et à vos sœurs Ruchama, » explique que Dieu parle à Jizréel (le frère d'Ammi et de Ruchama), et que Jizréel doit à son tour parler à Ammi et à Ruchama. Et le fait que Dieu appelle la femme visionnaire d'Osée Sa propre femme rend le sujet encore plus clair : Osée, voyez-vous, représente Dieu, et la femme d'Osée représente l'Église de Dieu ; Jizréel, celui à qui Dieu parle, représente Son porte-parole, un prophète, et les frères de Jizréel, Ammi et Ruchama, représentent les membres de l'Église, hommes et femmes. Comme Ammi et Ruchama représentent les laïcs, il est évident que la mère représente le ministère, ceux qui amènent des convertis dans l'Église. Nous avons ici une représentation complète de la maison de Dieu.
Ces versets [Osée 2:4, ] présentent la signification que Dieu donne à la grâce : si la « mère » ne se réforme pas, si elle ne cesse pas de se prostituer avec le monde et ses pratiques, alors non seulement la mère mais aussi ses enfants qui sympathisent avec elle, tomberont à tout jamais en disgrâce.
La mère, nous dit-on, s'imagine que ses amants illicites sont ceux qui lui fournissent les choses temporelles de la vie, et c’est ce qu’elle présente comme excuse pour justifier les rapports qu’elle entretient avec eux.
De plus, il nous est à nouveau dit que pendant qu'elle se prostitue, elle engendre des enfants illégitimes, de faux convertis. Voici un avertissement qui, en termes très clairs, exige une réforme, autrement toute la famille ecclésiale, à l'exception de ceux qui se réforment, sera détruite aussi complètement que l'ancienne Jérusalem l'a été quelques années après la crucifixion du Christ.
Lisez Genèse 24:1–4. Pourquoi serait-il si important pour Abraham que son fils ne se marie pas « avec les filles des Cananéens » (Gen. 24:3, LSG)?
« La foi constante d'Abraham en Dieu et sa soumission à sa volonté se reflétaient dans le caractère d'Isaac ; mais les affections du jeune homme étaient fortes, et il était d'un tempérament doux et conciliant. S'il s'unissait à quelqu'un qui ne craignait pas Dieu, il risquait de sacrifier le principe au nom de l'harmonie. Dans l'esprit d'Abraham, le choix d'une femme pour son fils était d'une grande importance ; il tenait à ce qu'il épouse une personne qui ne l'éloignerait pas de Dieu.... » Ellen WHITE, Conflict and Courage, p. 57.2
« Abraham avait remarqué le résultat des mariages entre ceux qui craignaient Dieu et ceux qui ne le craignaient pas, depuis l'époque de Caïn jusqu'à la sienne. Les conséquences de son propre mariage avec Agar et des mariages d'Ismaël et de Lot étaient devant lui. Le manque de foi d'Abraham et de Sara avait entraîné la naissance d'Ismaël, le mélange de la semence du juste avec celle de l'impie. L'influence du père sur son fils est atténuée par celle de la famille idolâtre de la mère et par les liens d'Ismaël avec des épouses païennes. » Ellen WHITE, Conflict and Courage , p. 57.3
« L'épouse de Lot était une femme égoïste et irréligieuse, et elle exerça son mariage pour séparer son mari d'Abraham. Sans elle, Lot ne serait pas resté à Sodome, privé des conseils du sage patriarche qui craignant Dieu.... » Ellen WHITE, Conflict & Courage, p. 57.4
« Celui qui craint Dieu ne peut, sans risque se lier à celui qui ne le craint pas. «Deux hommes marchent-ils ensemble, sans en être convenus ? (Amos 3:3). Le bonheur et la prospérité de la relation conjugale dépendent de l'unité des parties ; mais entre le croyant et l'incroyant, il y a une différence radicale de goûts, d'inclinations et d’objectifs. Ils servent deux maîtres, entre lesquels la concorde est impossible . Quels que soient la pureté et la correction des principes d'un individu, l'influence d'un incroyant aura tendance à l'éloigner de Dieu..... La directive du Seigneur est la suivante : « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger » (2 Corinthiens 6:14, 17, 18). Ellen WHITE, Conflict and Courage, p. 57.5
Lisez Genèse 24:57–67. Quelles leçons pouvons-nous tirer à propos de Christ et de Son Église à partir de certains détails que nous trouvons dans cette histoire? Que pouvons-nous apprendre, par exemple, de notre état déchu, en sachant que Rébecca était une parente éloignée et séparée d’Isaac?
« Le patriarche songea à la parenté de son père restée en Mésopotamie. Sans être complètement à l’abri de l’idolâtrie, celle-ci restait attachée à la connaissance et au culte du vrai Dieu. Or, comme Isaac ne pouvait quitter le pays de Canaan pour aller vivre parmi eux, on espérait trouver là-bas une jeune femme disposée à renoncer à son pays pour s’unir au fils d’Abraham et collaborer avec lui à maintenir dans sa pureté le culte du Dieu vivant. Abraham confia cette importante mission au “plus ancien des serviteurs de sa maison”, un homme d’une piété et d’un jugement éprouvés, qui lui avait rendu de longs et fidèles services. Par un serment solennel, il lui fit promettre devant Dieu de ne pas choisir pour son fils une femme cananéenne, mais une fille de la famille de Nacor, le Mésopotamien. Si aucune jeune fille de cette famille ne consentait à quitter sa parenté, le serviteur était dégagé de son serment; mais il ne devait en aucun cas y conduire Isaac. Pour encourager son serviteur en vue de cette mission à la fois délicate et difficile, le patriarche lui donna l’assurance que Dieu la couronnerait de succès: “L’Éternel, le Dieu des cieux, qui m’a fait sortir de la maison de mon père et du pays de ma naissance, lui dit-il, enverra son ange devant toi.” Patriarches et Prophètes, p. 150.1
Lisez Apocalypse 19:1–9. Deux choses sont célébrées simultanément: la fin de la prostituée et le mariage de Christ avec Son épouse. Comment est-il possible que ces deux évènements soient en effet des démonstrations du caractère juste et aimant de Dieu en même temps.
Après que « la fumée de la femme se soit élevée aux siècles des siècles », l'armée céleste s’est écriée : « Alléluia, car le Seigneur Dieu tout-puissant est entré dans Son règne ». En conséquence, tous les saints ont été jugés avant la destruction de la « femme », et après qu'elle aura été consumée par le feu, le Christ sera couronné Roi des rois et Seigneur des seigneurs ; le temple sera alors vidé et les sept derniers fléaux seront déversés.
Les passages suivants en témoignent. L'armée céleste déclara : « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'Agneau sont venues, et son épouse s'est préparée. Il lui a été donné de se vêtir de fin lin, pur et blanc, car le fin lin, ce sont les œuvres des saints. Et Il me dit : Écris : Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l'Agneau." L'ange ajouta : « Viens , je te montrerai l'Épouse, la femme de l'Agneau... et il me montra la grande ville, la Jérusalem sainte, qui descendait du ciel d'auprès de Dieu ». (Apoc. 19:7-9 ; 21:9, 10.) Ainsi, donc, l'épouse de l'Agneau est la ville sainte et non l'Eglise, et ceux qui sont appelés au repas des noces (les saints) sont les invités. (Voir « La grande controverse », page 427.) Ceux qui étaient devant le trône ont dit de la Nouvelle Jérusalem : « Son épouse s'est préparée : « Son épouse s'est préparée. Et il lui a été accordé [à la ville] de se vêtir d'un fin lin, pur et blanc... car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » (Apoc. 19:7, 8.). Par conséquent, l'épouse de l'Agneau sera prête à la fin du temps de grâce, lorsque les saints seront dénombrés, car ils constituent son « vêtement ». Au moment où la femme (Babylone) a été brûlée, les saints (le vêtement ) étaient donc prêts. Sa destruction sera le signal de la fin du temps de grâce. Certains prendront alors conscience de leur sort et diront : « La moisson est passée, l'été est fini, et nous ne sommes pas sauvés » (Jérémie 8:20). D'autres « erreront d'une mer à l'autre, du nord à l'orient, ils courront çà et là pour chercher les paroles de l'Eternel, et ils ne les trouveront pas » (Amos 8:12). (Amos 8:12). Lorsque le peuple de Dieu aura cessé de s'acquitter de la tâche que Dieu lui a confiée, sa réponse sera : « Nous n'avons rien à vous offrir, vous qui êtes le Dieu de l'amour : « Nous n'avons rien pour vous, la moisson est passée, le salut est terminé, vous arrivez trop tard. »
Lisez Apocalypse 21:1–4. Que signifie l’imagerie du mariage ici, et pourquoi est-elle pleine d’espoir et de promesses? Quelle est notre assurance de l’espoir présenté dans ces versets?
« Dans l’Apocalypse, les serviteurs de Dieu sont les invités au souper. Etant les invités, ils ne sauraient être aussi l’épouse. Jésus-Christ doit, selon le prophète Daniel, recevoir dans les cieux, de la main du Père, “la domination, la gloire et le règne”. Il reçoit la nouvelle Jérusalem, la capitale de son royaume, “préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux.” Mis en possession de son royaume, Jésus viendra comme Roi des rois et Seigneur des seigneurs, pour chercher son peuple, et le faire asseoir “à table avec Abraham, Isaac et Jacob”, dans son royaume, pour participer au souper des noces de l’Agneau ». Tragédie des Siècles, p. 462.3
La leçon est introduite par des métaphores de mariage. « Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, la relation conjugale sert à représenter l’union tendre et sacrée qui existe entre le Christ et Son peuple » Jésus-Christ, p. Jésus-Christ, p. 134.4
La leçon de Dimanche utilise l'intimité entre le mari et la femme dans le mariage pour illustrer la relation du Christ avec son Église. « Le mariage qui est une union pour la vie est le symbole de l'union du Christ avec son Eglise. L'Esprit que le Christ manifeste envers son Eglise est le même qui doit régner entre les époux.». Conseils à l’Église, p. 101.4
La belle épouse mentionnée dans la vision d'Ezéchiel dans la leçon de Lundi se réfère aux Chrétiens qui recherchent l’amitié du monde et qui se rend ennemi de Dieu.” Tragédie des Siècles 412.1
La leçon de Mardi porte sur la prophétie allégorique d'Osée et la destruction de Babylone. Dans le chapitre 2 d'Osée, une représentation complète de la maison de Dieu est mise en lumière, puisque Dieu appelle la femme d'Osée sa femme et les enfants de celle-ci ses enfants.
La leçon de Mercredi traite d'Isaac et de Rébecca et montre le soin dont Abraham a fait preuve pour trouver à son fils Isaac une épouse qui ne soit pas cananéenne, mais de sa race. « Celui qui craint Dieu ne peut, sans risque se lier à celui qui ne le craint pas. «Deux hommes marchent-ils ensemble, sans en être convenus ? (Amos 3:3).
La leçon de Jeudi conclut l'étude de la semaine avec le jugement de Baylone et le contraste avec l'épouse du Seigneur, la Nouvelle Jérusalem.