L’Appel de DIEU pour la Mission

Leçon 3, 4ème Trimestre, 14-20, 2023

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Sabbat Après Midi—14 Octobre

Verset à Mémoriser:

« Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » Actes 1 : 8.


La mission visant à sauver le monde ne peut pas être plus importante que celle de sauver l'Eglise. Augmenter le nombre de membres de l'église dans les conditions actuelles de la tiédeur de Laodicée ne pourrait pas plus faire avancer le Royaume du Christ que cela n'eût été possible dans les conditions de l'église juive à l'époque de Son premier avènement. Comprenant la situation réelle de cette église, Jean-Baptiste et Christ Lui-même, et même les apôtres au début, s’engagèrent à travailler, non pas pour le monde en général, mais uniquement dans l'intérêt de leurs frères.

Puisque la séparation d'avec Christ existe au sein de l'Eglise aujourd'hui comme à l'époque de Christ (Testimonies, Vol. 5, p. 217), il faudra beaucoup plus d'efforts pour sauver les gens de la "triste illusion " de Laodicée (Témoignages, Vol. 1, p. 375), que s'ils étaient dans le paganisme. Car dans Laodicée, on leur fait croire qu'ils possèdent toute la vérité, qu'ils sont riches , qu’ils se sont enrichis, et qu'ils n'ont besoin de rien-- leur salut est à jamais assuré aussi longtemps qu'ils sont membres d’Eglise ! Il y a donc un plus grand risque qu'ils perdent leurs âmes dans l'Eglise alors qu'elle est "tiède" et sur le point d'être rejetée, que s'ils restent dans le monde jusqu'à ce que l'Eglise se réveille de son sommeil et s'oigne du collyre pour ses yeux (la Vérité)-- qu’elle voie bien, qu’elle fasse le bien, et conduise et nourrisse le troupeau comme il se doit. -

Dimanche, 15 Octobre

Sortir de notre zone de confort


Lisez Genèse 11:1-9. Quelles étaient les intentions du peuple? Que voulaient-ils faire, et pourquoi Dieu les avait-Il empêché ?

On pourrait penser qu'après le déluge, le monde aurait eu un grand respect pour la religion et pour les prophètes de Dieu. Mais ce ne fut pas le cas. Les antédiluviens ne croyaient pas à la prédiction de Noé selon laquelle il y aurait un déluge, et ils ont donc refusé d'entrer dans l'arche ! Mais le déluge est arrivé et ils ont péri. Les postdiluviens n'ont pas cru à la prédiction de Noé selon laquelle il n'y aurait pas d'autre déluge, et ils entreprirent de construire la tour de Babel ! Mais lorsque Dieu vit la tour s'élever dans le ciel, Il en fit exploser le sommet et confondit le langage des bâtisseurs. C'est-à-dire qu'Il effaça de leur esprit leur propre langue et grava en eux les langues que nous trouvons aujourd'hui dans les coins les plus reculés de la terre.

Il en fit exploser le sommet et confondit le langage des bâtisseurs. C'est-à-dire qu'Il effaça de leur esprit leur propre langue et grava en eux les langues d'aujourd'hui. C'est ainsi qu'Il donna naissance à diverses races et langues que l'on l'on retrouve aujourd'hui jusque dans les régions les plus reculées de la terre

Dieu ne désirait pas que le peuple s'entassât dans les plaines de Shinear, mais qu'il se répande et remplisse la terre. C'est pourquoi, lorsqu'ils refusèrent d'obéir à Son ordre., Il leur donna ce qu'Il avait de mieux à leur offrir, et ils furent obligés de Lui obéir. –

Si l'homme travaille indépendamment et contrairement au plan de Dieu, voyez-vous, il est sûr de connaitre un désastre. Une maison bâtie sur le sable ne peut survivre à une tempête, et aucun homme ne peut aller à l'encontre du dessein de Dieu pour les hommes. Ne vous ridiculisez pas en risquant d’essayant.

Il faut des années dans les écoles des hommes pour apprendre une langue, mais dans l'école de Dieu, cela ne prend qu'un instant. Il peut effacer une langue du cerveau de l'homme et en graver une autre, tout en changeant les traits de son visage et la couleur de sa peau. Oui, Dieu peut faire tout cela plus rapidement qu'un dentiste n'arrache une dent. Mais que le changement se fasse pour le meilleur ou pour le pire, tout dépend de l'individu.

Lundi, 16 Octobre

Devenir une Bénédiction pour le Monde Entier


Lisez Genèse 12:1-3. En quoi l’instruction de Dieu à Abram était- elle un appel à la mission ?

La foi inébranlable et infaillible d'Abraham et son obéissance sans hésitation aux ordres du Seigneur dans tous les cas ont fait de lui un "ami de Dieu", le "père des fidèles" et un grand pilier de la vérité vivante, avec un nom dont on se souviendra et que l'on vénérera à travers le temps et l'éternité.

La foi de Jacob dans les promesses de Dieu et son désir impérieux de s'intégrer dans les plans du Seigneur et de les mettre en œuvre ont fait de lui le géniteur des premiers fruits ou du ministère de l'Eglise du Royaume-- ceux qui se tiennent avec l'Agneau sur le Mont Sion (Apoc. 14:1).

La fidélité intransigeante de Joseph à ses principes lui a permis d'accéder à la plus haute fonction, dans laquelle il est devenu le plus grand pourvoyeur du monde en tant que type du Christ, le grand pourvoyeur spirituel.

Moïse, dans sa douceur (son humilité) et dans sa détermination à "préférer souffrir l'affliction avec le peuple de Dieu, plutôt que d’avoir pour un temps la jouissance du péché" (Héb. 11:25), est devenu le plus grand général, chef et libérateur de tous les temps, et s'est même tenu sur la montagne de la transfiguration.

Le sacrifice de la vie des apôtres pour l'amour du Christ et de sa vérité leur a valu l'honneur exalté de voir leurs noms placés sur les fondations de la ville sainte (Apoc. 21:14).

Les efforts intrépides et persévérants de Luther pour élever la Vérité piétinée (Dan. 8:11, 12 ; 11:31) ont donné naissance au Protestantisme.

« Et maintenant voici, je m'en vais vers mon peuple. Viens, je t'annoncerai ce que ce peuple fera à ton peuple à la fin jours …. Je le vois, mais non maintenant, Je le contemple, mais non de près. Un astre sort de Jacob, Un sceptre s'élève d'Israël. Il perce les flancs de Moab, Et il abat tous les enfants de Seth. Il se rend maître d'Édom, Il se rend maître de Séir, ses ennemis. Israël manifeste sa force » Nombres 24 : 14, 17, 18. ( Version Biblique Darby)

En effet, Balaam dit au roi de Moab : "J'ai essayé d'obtenir ta faveur et de maudire Israël : "J'ai fait de mon mieux pour obtenir ta faveur et pour maudire Israël, mais Dieu l'a emporté. Israël a gagné ; toi et moi avons perdu. De plus, je vais te dire ce que ce peuple fera à ton peuple à la fin des jours : Celui qui gouvernera Israël frappera Moab de toutes parts, et Israël manifestera sa puissance."

C'est ainsi que Balaam fut poussé à prédire la naissance du Christ et son règne, amenant Israël à lutter vaillamment contre Moab et les peuples voisins dans les derniers jours.

Mardi 17 Octobre

L’Appel Abraham


Lisez Genèse 12:10-13:1. Que lui était-il arrivé ensuite, et quelles erreurs cet homme de Dieu avait-il commises?

« Dieu avait appelé Abraham à être le père des croyants. Sa vie devait servir d’exemple aux générations futures. Mais sa foi n’avait pas été parfaite; elle avait faibli le jour où il n’avait pas osé avouer que Sara était sa femme, ainsi que lors de son mariage avec Agar. Aussi, pour lui donner plus de confiance en son Père céleste, Dieu va le soumettre à une nouvelle épreuve, la plus dure qu’aucun homme ait jamais été appelé à subir. Dans une vision de la nuit, ordre lui est donné de se rendre au pays de Morija pour y offrir son fils en sacrifice sur une montagne qui lui sera désignée » . Patriarches et Prohètes, p. 127.2

« Dans la vigueur de l’âge mûr, l’homme peut affronter des épreuves et des douleurs qu’il ne saurait supporter à un âge plus avancé, alors que, chancelant, il descend vers la tombe. Dans sa jeunesse, Abraham s’était fait un jeu de subir des privations et de braver le danger. Mais l’ardeur de sa jeunesse avait disparu. A l’époque où il reçut cette injonction inouïe, il avait atteint l’âge de cent vingt ans. Il était donc, même pour l’époque où il vivait, un vieillard. Néanmoins, Dieu avait réservé la dernière, la suprême épreuve de sa vie pour le moment où, courbé sous le poids des ans, rassasié de labeurs et de soucis, le patriarche soupirait après le repos ». PP 127.3

« Pour obéir au Seigneur, Abraham avait dit un adieu éternel au sol natal et aux sépulcres de ses pères. Il avait erré en étranger dans le pays qui devait lui échoir et longtemps soupiré après la naissance de l’héritier promis. Sur un ordre d’en haut, il avait banni de son foyer son fils Ismaël. Et maintenant que l’enfant tant désiré est arrivé à une belle adolescence, et que le patriarche commence à entrevoir le fruit de ses espérances, il entend, glacé d’horreur, une voix qui lui dit: “Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac; va-t-en au pays de Morija, et là, offre-le en holocauste.” Patriarches et Prophètes, p. 128.1.

« L’acte de foi dont Abraham vient de donner l’exemple est comme une colonne de feu illuminant le sentier des serviteurs de Dieu jusqu’aux derniers siècles. Durant trois journées de voyage, il avait eu suffisamment de temps pour réfléchir et pour douter, s’il y avait été disposé. Il aurait pu facilement se dire qu’en tuant son fils il allait être considéré comme un meurtrier, comme un second Caïn; qu’il serait méprisé, mis au ban de la société, et que c’en serait fini de tous ses enseignements et de sa mission au milieu de ses contemporains. Il aurait pu, également, prétexter son grand âge. Mais le patriarche n’a pas cherché de prétextes pour refuser d’obéir à Dieu. Il ne s’est réfugié derrière aucun de ces subterfuges. Humain et sujet aux mêmes faiblesses, aux mêmes penchants que nous, il ne s’est pas demandé comment la promesse divine pourrait se concilier avec la mort d’Isaac. Il ne s’est pas arrêté à parlementer avec son cœur saignant. Convaincu que Dieu est juste dans toutes ses exigences, il a obéi à la lettre ». Patriarches et Prophètes, p. 131.4

Mercredi, 18 Octobre

L’Église Primitive, et les Zones de Confort


Lisez Actes 8:1-4. Dans l’église primitive, qu’est-ce qui avait provoqué la dispersion des croyants au-delà de leur zone de confort ?

« Quand le dragon vit qu'il avait été précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfanté l'enfant mâle. Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent. Et, de sa bouche, le serpent lança de l'eau comme un fleuve derrière la femme, afin de l'entraîner par le fleuve. Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au restes de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus. » Apo. 12 : 13- 17

Presque tous les chrétiens s'accordent à dire que la seule interprétation possible de la "femme" mentionnée ici est qu'elle symbolise l'Eglise. Et le fait qu'elle ait donné naissance à l'enfant mâle, le Christ, montre qu'elle est donc le symbole de l'Église, au moins dans la dispensation Chrétienne.

Alors que le dragon la persécutait par l'intermédiaire des prêtres juifs égarés qui rejetaient le Christ en tant que Messie, « Saul avait approuvé le meurtre d'Étienne. Il y eut, ce jour-là, une grande persécution contre l'Église de Jérusalem; et tous, excepté les apôtres, se dispersèrent dans les contrées de la Judée et de la Samarie. Des hommes pieux ensevelirent Étienne, et le pleurèrent à grand bruit. Saul, de son côté, ravageait l'Église; pénétrant dans les maisons, il en arrachait hommes et femmes, et les faisait jeter en prison. Ceux qui avaient été dispersés allaient de lieu en lieu, annonçant la bonne nouvelle de la Parole. » Actes 8 : 1- 4

C'est pourquoi les ailes d'un grand aigle lui furent données, afin qu'elle puisse se rendre dans le désert. Étant l'opposé de la vigne (" la maison d'Israël, et les hommes de Juda, Sa plante agréable " --Esa. 5:7), le désert désigne évidemment les nations païennes. Les apôtres, en accomplissement de cette prophétie, reçurent l'ordre et les ailes d'aller rapidement prêcher à toutes les nations.

« Paul et Barnabas leur dirent avec assurance: C'est à vous premièrement que la parole de Dieu devait être annoncée; mais, puisque vous la repoussez, et que vous vous jugez vous-mêmes indignes de la vie éternelle, voici, nous nous tournons vers les païens. Car ainsi nous l'a ordonné le Seigneur: Je t'ai établi pour être la lumière des nations, Pour porter le salut jusqu'aux extrémités de la terre. Les païens se réjouissaient en entendant cela, ils glorifiaient la parole du Seigneur, et tous ceux qui étaient destinés à la vie éternelle crurent. La parole du Seigneur se répandait dans tout le pays » . Actes 13 : 46-49

Jeudi, 9 Octobre

Commencez par là où vous êtes


Lisez Actes 1:8. Quel principe Jésus avait-Il présenté sur l’œuvre qui consiste à partager la parole ou d’être Ses témoins au monde ?

« Le texte de Daniel continue: “Il fera une alliance ferme avec un grand nombre pendant une semaine.” La “semaine” ici mentionnée est la dernière des soixante-dix; elle constitue les sept dernières années de la période accordée aux Juifs. Pendant ce temps, soit de l’an 27 à l’an 34 de notre ère, Jésus, personnellement, puis par ses disciples, adressa tout spécialement aux Juifs l’invitation de prendre part au festin évangélique. Lorsqu’il envoya ses disciples porter l’Evangile, il leur donna cette recommandation: “N’allez pas vers les païens, et n’entrez pas dans les villes des Samaritains; allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël.” Matthew 10:5, 6 » La Tragédie des Siècles , p. 354.1

« Et au milieu de la semaine, dit encore la prophétie, il fera cesser le sacrifice et l’oblation.” En l’an 31, trois années et demie après son baptême, Jésus fut crucifié. La tragédie du Calvaire mettait fin au système des sacrifices qui, durant quatre mille ans, avaient attiré l’attention sur l’agneau de Dieu. Le type avait trouvé son antitype. A partir de ce moment, tous les sacrifices et toutes les oblations du système mosaïque devaient cesser. » La Tragédie des Siècles, p. 354.2

« Les soixante-dix semaines, ou quatre cent quatre-vingt-dix ans, assignées aux Juifs ayant expiré en l’an 34 de notre ère, on constata qu’à ce moment précis, par la décision du sanhédrin, par le martyre d’Etienne et la persécution des chrétiens, la nation juive avait officiellement rejeté l’Evangile. Dès lors, le message du salut cessa d’être confiné aux Israélites et fut porté aux nations. Chassés par la persécution, les disciples “allaient de lieu en lieu, annonçant la bonne nouvelle de la Parole”. Philippe, étant descendu en Samarie, “y prêcha le Christ”. Conduit par l’Esprit de Dieu, Pierre présenta l’Evangile au centenier de Césarée, le pieux Corneille; et l’ardent Paul, gagné à la foi chrétienne, fut appelé à porter la Bonne Nouvelle “au loin vers les nations”. » La Tragédie des Siècles, p. 354.3

« Les disciples devaient effectuer leur première tournée missionnaire uniquement parmi “les brebis perdues de la maison d’Israël”. Leur influence auprès des Juifs eût été nulle s’ils avaient, dès ce moment, prêché l’Evangile aux païens ou aux Samaritains. En allant à l’encontre des préjugés des pharisiens, ils se seraient engagés dans des controverses qui les eussent découragés, dès le début de leurs efforts. D’ailleurs les apôtres, eux-mêmes, comprenaient difficilement que l’Evangile serait apporté à toutes les nations. Aussi longtemps qu’ils ne pouvaient saisir cette vérité, ils étaient impropres à l’accomplissement d’une œuvre parmi les païens. D’autre part, d’après le dessein de Dieu, les Juifs étant appelés à devenir ses messagers auprès d’eux, devaient donc être les premiers à entendre le message. » Jésus- Christ, p. 341.2

Vendredi, 20 Octobre

Pour Aller Loin

« Les disciples devaient effectuer ce premier tour uniquement dans les endroits visités par Jésus et dans les milieux où il s’était fait des amis. Leurs préparatifs de voyage devaient être très sommaires. Rien ne devait distraire leur esprit d’une œuvre aussi importante, ou provoquer une opposition qui pourrait les gêner au cours de leurs travaux. Ils ne devaient pas adopter les vêtements des docteurs de la religion, et rien dans leur apparence ne devait dissimuler leur humble origine. Ils ne devaient pas convoquer des assemblées dans les synagogues; leur travail devait se faire de maison en maison. Ils ne devaient pas perdre leur temps dans d’inutiles salutations ou dans des réceptions. En chaque endroit ils devaient accepter l’hospitalité de ceux qu’ils jugeraient dignes et qui, en les recevant avec cordialité, croiraient recevoir le Christ lui-même. En entrant dans une demeure, ils devaient prononcer cette belle salutation: “La paix soit sur cette maison!”2Luc 10:5. Ce foyer serait rendu heureux par leurs prières, leurs chants de louanges, et l’étude de l’Ecriture faite en famille. » Jésus- Christ, p. 342.1

« Ces disciples devaient aller, comme des hérauts de la vérité, préparer la voie pour la venue de leur Maître. Ils devaient porter le message de la vie éternelle; la destinée des hommes dépendrait de l’attitude qu’ils prendraient à l’égard de ce message. Pour montrer combien celui-ci était solennel, Jésus dit aux disciples: “Lorsqu’on ne vous recevra pas et qu’on n’écoutera pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville et secouez la poussière de vos pieds. En vérité, je vous le dis, au jour du jugement, pour le pays de Sodome et Gomorrhe il y aura moins de rigueur que pour cette ville-là. » Jésus- Christ, p. 342.2