« Quand un malheureux crie, l'Éternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses. » Ps 34 : 17
Notre Père céleste est impatient de nous accorder la plénitude de Ses bénédictions. C'est notre privilège de nous abreuver largement à la fontaine de l'amour sans limites. Il est étonnant que nous priions si peu ! Dieu est prêt à entendre la prière sincère du plus humble de Ses enfants, et pourtant nous sommes manifestement réticents à lui faire connaître nos besoins. Que peuvent penser les anges du ciel de pauvres êtres humains sans défense, soumis à la tentation, alors que le cœur de Dieu, d'un amour infini, soupire vers eux, prêt à leur donner plus qu'ils ne peuvent demander ou penser, et pourtant ils prient si peu et ont si peu de foi ? Les anges aiment se prosterner devant Dieu, ils aiment être près de Lui. Ils considèrent la communion avec Dieu comme leur plus grande joie ; et pourtant les enfants de la terre, qui ont tant besoin de l'aide que Dieu seul peut donner, semblent satisfaits de marcher sans la lumière de son Esprit, sans la compagnie de sa présence. Step to Christ 94.1
Lisez Psaume 139:1-18. Comment ce passage dépeint-il de manière poétique la puissance de Dieu (Ps 139:1-6), Sa présence (Ps 139:7-12) et Sa bonté (Ps 139:13-18)? Que dit la grandeur de Dieu à propos de Ses promesses?
« C'est le Créateur de toutes choses qui a fait en sorte que les moyens soient adaptés aux fins, les remèdes aux besoins. C'est Lui qui a veillé à ce que, dans le monde matériel, chaque désir légitime soit satisfait. Lui qui a engendré l'âme humaine, avec ses aptitudes à savoir et aimer. Et il n'est pas dans la nature de Dieu de laisser les demandes de l'âme sans réponse. Aucun principe impalpable, aucune substance impersonnelle, aucune abstraction ne pourra assouvir les besoins et les aspirations des hommes aux prises dans cette vie avec le péché, la tristesse et la souffrance. Il ne peut suffire de croire dans la loi et dans la puissance, dans des choses qui n'éprouvent aucun sentiment de compassion, qui n'entendent jamais les appels au secours. Nous avons besoin d'un bras puissant qui nous soutienne, d'un ami parfait qui ait pitié de nous. Nous avons besoin de serrer une main chaleureuse, de nous confier en un cœur plein de tendresse. Et Dieu dans sa Parole se révèle tel.” Éducation, p. 150.3
"Dieu voit le pécheur. L'œil qui ne dort jamais sait tout ce qui est fait. C'est écrit dans Son livre. On peut cacher son péché à son père, à sa mère, à sa femme et à ses amis, et pourtant tout est ouvert devant Dieu et inscrit dans Son livre de mémoire . L'obscurité, le secret, la tromperie et le crime ajouté au crime n'ont pas effacé ce qui est consigné. David était un homme repentant, et bien qu'il ait confessé. et détesté son péché, il ne pouvait pas l'oublier. Il s'est exclamé : "Où irai-je loin de ton Esprit ? où fuirai-je loin de ta présence ? Si je monte au ciel, tu y es ; si je me couche au séjour des morts, tu y es. Si je prends les ailes de l'aurore, Et si j'habite au fond de la mer, C'est là que ta main me conduira.... Les ténèbres ne sont pas cachés devant toi, mais la nuit brille comme le jour ». Ellen WHITE, RH 24 mai 1887, par. 5
Quelles riches bénédictions ! Avec le Psalmiste, je pourrais dire « Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand! Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m'éveille, et je suis encore avec toi » Psaume 139 : 17-18 » . Les derniers mots expriment mes sentiments et mon expérience. Lorsque je me réveille, la première pensée et l’expression de mon cœur est : "Louez le Seigneur ! Je t'aime, Seigneur, tu sais que je t'aime. Précieux Sauveur, Tu m'as acheté au prix de Ton propre sang. Tu m'as estimé, sinon Tu n'aurais pas payé un prix infini pour mon salut. Toi, mon Rédempteur, tu as donné ta vie pour moi, et tu n'es pas mort pour moi en vain. Je te donnerai cette vie pour coopérer avec Toi au salut de mon âme". « Ellen WHITE, 7LtMs, Lt 2d, 1892, par. 4"
Lisez Psaume 40:1-3, Psaume 50:15, Psaume 55:22 et Psaume 121. Comment Dieu est-Il impliqué dans les évènements quotidiens de notre vie?
Si vous faites du Royaume de Dieu votre principal intérêt, vous vous trouverez très certainement au bon endroit, au bon moment, en train de faire ce qu'il faut et de récolter les plus riches bénédictions divines. Vous pouvez alors être assuré qu'Il vous ouvrira la voie et vous conduira là où vous devez être, même s'Il doit vous sortir du puits, dire aux Ismaélites de vous transporter en Égypte et vous faire travailler dans la maison de Potiphar. Il se peut même qu'Il doive vous emmener en prison avant de vous faire asseoir avec Pharaon sur le trône. Il peut aussi vous faire fuir l'Égypte et vous faire garder les moutons autour du mont Horeb. Il peut vous faire traverser la mer Rouge pendant que les Égyptiens vous poursuivent. Il peut vous amener dans le désert où il n'y a ni eau ni nourriture. Il se peut que le lion et l'ours viennent prendre vos agneaux, que Goliath tue votre peuple, et que le roi vous jette dans la fournaise ou dans la fosse aux lions.
"Oui, des centaines et des milliers de choses peuvent arriver, mais celui qui se confie en Dieu et qui fait bien son travail trouvera que tous ces soi-disant obstacles ou mésaventures sont de merveilleuses délivrances et des tremplins vers le succès, qui réalisent tous les merveilleux plans de Dieu, et la voie de Dieu vers votre promotion d'un grand évènement à un autre . Lorsque vous êtes sous la protection et le contrôle de Dieu, ne dites jamais que c'est le Diable qui a fait ceci ou cela, quel que soit l’évènement, car il ne peut rien faire sans que Dieu ne lui permette. Accordez toujours le crédit à Dieu.
"Lorsque les choses vont à l'encontre de la volonté et de la voie d’un individu, la plupart des chrétiens en attribuent la responsabilité au Diable. Ce n'est que lorsque les choses se déroulent comme ils le souhaitent qu'ils en attribuent le mérite à Dieu ! Balaam, lui aussi, était heureux quand le chemin s'ouvrait pour lui permettre d'aller vers Balak, mais quand l'ange du Seigneur barra la route qu’il empruntait, Balaam devint fou, comme un chien et frappa l'âne. -
Non, rien d'autre que vous-même, ne peut contrecarrer les plans que Dieu a pour vous. Qu'il s'agisse de vos amis ou de vos ennemis, de bêtes ou de rois, vous les trouverez tous, involontairement ou volontairement, à travailler pour votre bien, plutôt que pour votre malheur , si vous faites ce que Dieu vous demande. Le Ciel, quelle richesse ! Et qui le sait !
Non, il n'y a ni bête ni homme qui puisse vous ôter la vie ou vous priver d'une promotion si vous obéissez à Dieu, si vous savez que Celui qui garde Israël ne dort ni ne sommeille (Ps. 121:3, 4) ; qu'Il sait tout de vous, mes amis, à chaque instant du jour et de la nuit ; qu'Il fait attention même aux cheveux qui tombent de vos têtes ; que tout ce qui vous arrive n'est que la volonté de Dieu pour votre propre bien. Si vous savez et croyez qu'Il est Dieu et le Gardien de vos corps et de vos âmes, alors, quoi qu'il vous arrive, vous en serez heureux et vous en donnerez le crédit à Dieu, sans murmurer, mais en vous glorifiant même dans vos épreuves et vos afflictions.
Lisez Psaume 17:7-9, Psaume 31:1-3 et Psaume 91:2-7. Que fait le psalmiste dans les moments difficiles?
"Les justes comprennent le gouvernement de Dieu et triompheront avec une sainte joie de la protection et du salut éternels que le Christ, par Ses mérites, leur a assurés. Que tous s'en souviennent et n'oublient pas que les méchants, qui ne reçoivent pas le Christ comme leur Sauveur personnel, ne comprennent pas Sa providence. Ils n'ont pas choisi la voie de la justice et ne connaissent pas Dieu. Malgré tous les bienfaits qu'Il leur a si gracieusement accordés, ils ont abusé de sa miséricorde en négligeant de reconnaître la bonté et la miséricorde dont Il a fait preuve en leur accordant ces faveurs ». Ellen WHITE, 16LtMs, Ms 151, 1901, par. 12
"A tout moment, Dieu peut retirer aux impénitents les gages de Sa merveilleuse miséricorde et de Son amour. Oh, si les agents humains pouvaient considérer ce qui sera le résultat certain de leur ingratitude envers Lui et de leur mépris du don infini du Christ à notre monde ! S'ils continuent à aimer la transgression plus que l'obéissance, les bénédictions actuelles et la grande miséricorde de Dieu dont ils jouissent maintenant, mais qu'ils n'apprécient pas, deviendront finalement l'occasion de leur ruine éternelle. Il se peut qu'ils choisissent pendant un certain temps de se livrer à des amusements mondains et à des plaisirs pécheurs, plutôt que de s'arrêter dans leur course au péché et de vivre pour Dieu et pour l'honneur de la Majesté des cieux ; mais lorsqu'il sera trop tard pour eux de voir et de comprendre ce qu'ils ont méprisé comme une chose insignifiante, ils sauront ce que signifie qu’être sans Dieu, sans espérance. Ils comprendront alors ce qu'ils ont perdu en choisissant d'être déloyaux envers Dieu et de se rebeller contre ses commandements. Dans le passé, ils ont défié sa puissance et rejeté ses offres de miséricorde ; finalement, ses jugements s'abattront sur eux. Ils se rendront compte alors qu'ils ont perdu le bonheur--la vie, la vie éternelle, dans les cours célestes. Ils diront certainement : "Notre vie a été pleine de folie contre Dieu, et maintenant nous sommes perdus !". Ellen WHITE, 16LtMs, Ms 151, 1901, par. 13
"Au temps où les jugements de Dieu s'abattent sans pitié, ô combien enviable pour les méchants sera la position de ceux qui demeurent " dans le lieu secret du Très-Haut " [verset 1]-- le sanctuaire dans lequel le Seigneur cache tous ceux qui l'ont aimé et qui ont obéi à ses commandements ! Le sort des justes est en effet enviable à ce moment-là pour ceux qui souffrent à cause de leurs péchés. Mais la porte de la miséricorde est fermée aux méchants, aucune prière n'est plus offerte en leur faveur après la fin du temps de grâce". Ellen WHITE, 16LtMs, Ms 151, 1901, par. 14
Lisez 1 Corinthiens 10:1-4. Comment Paul décrit-il l’histoire de l’Exode? Quelle leçon spirituelle cherche-t-il à enseigner par ce biais?
Commençons notre examen par Moïse, l'agent humain, le leader visible du mouvement. De l’Exode. Élevé dans les cours de Pharaon, il a reçu la plus haute éducation que le monde offrait à l’époque. Ayant compris qu'il était celui qui devait libérer ses frères de l'esclavage égyptien, il s’en sentait tout à fait capable.
Vous vous souvenez des plans qu’il mit en œuvre pour les délivrer, alors qu'il n’ en 'avait pas encore reçu l'ordre. Il tua un Égyptien, se querella avec un Hébreu et s'enfuit pour sauver sa vie. C'est ainsi qu'à Madian, il obtint un emploi, devint berger et épousa la fille de son employeur. Au cours de ces quarante années de vie de berger, il oublia la langue égyptienne et, avec elle, le savoir égyptien. Il apprit à l’inverse de bien s'occuper des moutons. Il s’affranchit mentalement de l'idée de délivrer un jour le peuple de Dieu de l'esclavage égyptien. C'est alors que Dieu, le voyant fort et capable de réaliser la mission, lui ordonna de retourner en Égypte et d'en faire sortir son peuple affligé
Vous vous souvenez que Moïse avait protesté contre cette idée et Fit valoir qu'il avait échoué lors de sa première tentative, à l'époque où il était jeune et bien informé, et qu'à cette heure tardive de sa vie, il ne devait pas essayer à nouveau. Il n'était même plus capable de parler la langue. Après une longue conversation, Dieu leva ses objections en lui promettant de lui donner son frère, Aaron, pour être son porte-parole, et Moïse consentit finalement à retourner en Égypte.
Là, avec son bâton de berger, il accomplit de nombreux signes et prodiges devant les Égyptiens et les Hébreux. Vous vous souvenez de ce qui s'est passé la nuit de la Pâque, la nuit précédant la sortie d'Égypte : Moïse avait proclamé dans tout le pays que, dans toute habitation où l'on ne trouverait pas de sang sur les linteaux des portes, la nuit même où le premier-né de cette habitation mourrait.
Le lendemain, ceux qui avaient désobéi à l'injonction divine étaient occupés à se lamenter et à enterrer leurs morts, tandis que ceux qui avaient obéi au commandement sortaient joyeusement et en ordre des villes. Oui, seuls ceux qui étaient capables de recevoir des ordres ont été libérés de l'esclavage. Il est donc indispensable que nous apprenions à obéir aux ordres si nous voulons recevoir le sceau de Dieu sur notre front.
N'oublions pas, cependant que les enfants d'Israël quittèrent l'Égypte avec beaucoup de zèle et de grands espoirs. Mais lorsqu'ils virent la Mer Rouge devant eux et l'armée de Pharaon derrière eux, ils furent remplis de consternation. Ils se virent dans un piège mortel alors qu'ils étaient sur le point de connaître une nouvelle délivrance merveilleuse. Ils se tournèrent alors tournés vers Moïse et l'accusèrent de les avoir amenés à la mer, d'avoir rendu leur fuite de leurs ennemis absolument impossible
D'un point de vue humain, ils se trouvaient dans une situation précaire. À ce moment-là, ils oublièrent leur délivrance miraculeuse des tyrans de Pharaon et leurs yeux se fermèrent à la merveilleuse nuée le jour, et à la colonne de feu la nuit qui les avaient conduits tout au long du chemin. Pour eux, les preuves d’incapacité de Moïse à les conduire en toute sécurité étaient accablantes. Pour eux, toute l'entreprise semblait vouée à l'échec. Leurs espoirs d'aller de l'avant ou même de revenir en arrière les abandonnaient, et tout cela parce qu'ils pensaient que Moïse, et non Dieu, était leur sauveur ! Quelle courte vue, quelle instabilité, quels doutes et quels oublis chez les êtres humains ! L'expérience de l'évangélisation m'a appris que le peuple de Dieu d'aujourd'hui a le même tentateur à combattre et les mêmes tentations à vaincre s'il veut recevoir le sceau de Dieu.
Quelle différence c’eût été si les Israélites avaient cru que Dieu, et non Moïse, était leur Chef, et que ce qui semblait être leur piège mortel était leur porte d'espérance. Laissons leur expérience nous apprendre à nous souvenir que Dieu nous dirige entièrement ou pas du tout, que Ses voies ne sont pas nos voies, et que ce qui peut sembler être notre plus grand obstacle, peut en fait s'avérer être notre plus grande bénédiction.
Nous voyons maintenant, que le vrai danger pour Israël, ne consistait aux actes mais dans leur incrédulité à l'égard de Dieu qui tient les rênes entre ses mains, et parce que les voies de Dieu sont incompréhensibles – contraires aux nôtres. Ils n’envisageaient pas que Dieu puisse accomplir miracle après miracle pour les délivrer de la main de leur ennemi, qu'Il pouvait assécher l'océan aussi facilement qu'Il pouvait inonder la terre.
Nous devrions faire de leurs échecs des remplis vers le succès. Croyons donc de tout cœur que Dieu est responsable de notre salut, de notre vie et de notre mort. Qu'Il est capable de nous mettre à l'abri même si la terre tomberait de l'espace, que nous ne saurions mourir s'Il veut que nous vivionss, et que nous ne saurions vivre s'Il nous veut que nous morrions. Gardons toujours à l'esprit que nous ne savons rien des plans de Dieu, excepté les enseignements qu’Il nous transmets par l'intermédiaire de Ses serviteurs désignés, les prophètes, et ce dont nous sommes témoins jour après jour. Si nous marchons chaque jour avec Dieu, si nous nous remettions entièrement à Lui, Lui confions tout, alors Il se chargera de tout.
Dieu, dans Sa sagesse, a amené les enfants d’Israël à la mer Rouge pour leur bien, et bien qu'ils ne voyaient les choses selon le plan de Dieu, Il a néanmoins, pour l'amour de Son nom, divisé la mer, les a fait traverser en toute sécurité, et par le même miracle, ll détruisît leurs ennemis !
Si Moïse avait douté de la puissance et de la direction de Dieu comme l'ont fait les gens qui étaient avec lui, quel effet aurait eu son bâton lorsqu'il frappa la mer ? - Aucun. Si le jugement de l'Infini était semblable au jugement du fini, l'armée de Pharaon aurait tué ou asservi Israël à nouveau.
Leurs puissantes délivrances devraient donc établir à jamais notre confiance en Dieu et constituer un souvenir éternel prouvant que la sagesse des hommes est une folie aux yeux de Dieu et que la foi en lui permet de renverser les montagnes et les mers.
Lisez Psaume 3:4; Psaume 14:7; Psaume 20:1-3; Psaume 27:5; Psaume 36:8; Psaume 61:4; et Psaume 68:5, 35. D’où vient le secours dans ces textes?
« La même confiance se lit dans les chants que David écrivit lorsque, roi détrôné, il fuyait Jérusalem devant la révolte d'Absalom. Epuisé de chagrin et de fatigue, il s'était arrêté avec ses compagnons pour prendre quelques heures de repos au bord du Jourdain. On le réveilla pour le presser de poursuivre sa fuite. Dans l'obscurité, les hommes, les femmes, les enfants devaient traverser le fleuve profond et rapide, car le fils infidèle les talonnait. » Éducation, p. 187.3
"Satan est tout à fait prêt à insinuer que la prière n'est qu'une simple forme et qu'elle ne nous sert à rien. Il ne supporte pas que l'on fasse appel à Son puissant rival. En entendant une prière fervente, les armées des ténèbres tremblent. Craignant que leur prisonnier ne s'échappe, elles forment un mur autour de lui, afin que la lumière du Ciel n'atteigne pas son âme. Mais si, dans sa détresse et son impuissance, le pécheur se tourne vers Jésus, plaidant les mérites de son sang, notre Rédempteur compatissant écoute la prière sincère et persévérante de la foi, et envoie pour sa délivrance un renfort d'anges qui excellent en force. Et lorsque ces anges, tout-puissants, revêtus de l'armure du ciel, viennent au secours de l'âme évanouie et poursuivie, les anges des ténèbres reculent, sachant bien que leur bataille est perdue et qu'une âme de plus échappe au pouvoir de leur influence ».-Signes des temps, 18 novembre 1886. PH048 ( Appel aux Adventistes pour l’Accomplissement de leur devoir).
Psaume 20 : 2,3,7 « Que l'Éternel t'exauce au jour de la détresse, Que le nom du Dieu de Jacob te protège!, Que du sanctuaire il t'envoie du secours, Que de Sion il te soutienne!... Je sais déjà que l'Éternel sauve son oint; Il l'exaucera des cieux, de sa sainte demeure, par le secours puissant de sa droite. » PHO48 36.1 ( Appel aux Adventistes pour l’Accomplissement de leur devoir).
« Si les justes devaient maintenant encore être tués par leurs ennemis, le prince des ténèbres triompherait. “Il me protégera dans Son tabernacle au jour du malheur, dit le psalmiste, II me cachera sous l’abri de sa tente.” Le Sauveur ajoute: “Va, mon peuple, entre dans ta chambre, et ferme la porte derrière toi; cache-toi pour quelques instants, jusqu’à ce que la colère soit passée. Car voici, l’Eternel sort de sa demeure, pour punir les crimes des habitants de la terre.” Glorieuse sera la délivrance de ceux qui auront patiemment attendu sa venue, et dont le nom est écrit dans le livre de vie! » Tragédie des Siècles, p. 687.3
"Quelle figure touchante ! Quelle idée nous donne -t-elle de la vigilante attention du Christ pour tous ceux qui se confient en Lui. Le Christ désirait ardemment rassembler Israël sous ses ailes de médiateur » 12 MR, p. 276.1
« Les veuves et les orphelins sont l'objet de la sollicitude toute particulière du Seigneur »: Ministère de la Guérison, p. 172.1
« Il est temps que nous soyons dotés de la puissance d'en haut. Satan et toute sa confédération du mal travaillent avec une vigilance inlassable pour s'opposer au bien. Jamais une association plus puissante n'a été formée pour neutraliser les leçons et les enseignements du Christ et pour semer les graines de l'infidélité concernant l'inspiration des Ecritures ». Ellen WHITE, That I May Know Him, p. 345.2
Quelles leçons spirituelles peut-on tirer de l'histoire de l'Exode ?
Les chrétiens pensent souvent que les Israélites étaient très méchants et indisciplinés, mais après avoir tiré profit de leurs expériences, imaginez combien nous serions pires si nous les imitions ! Si nous ne faisons pas mieux qu'eux, comment pouvons-nous espérer être qualifiés pour recevoir le sceau et pour le Royaume puisqu'ils ne l'étaient pas ?
Dans la fleur de l'âge, Moïse se croyait capable de délivrer les enfants d'Israël. Mais la Providence lui dit : "Tu n'es pas fait pour ce travail : "Tu n'es pas apte à cette tâche, sors d’Egypte et je t’en rendrai capable. . C’est ainsi que Moïse sortit d’Egypte
Il n'avait pas besoin de la formation de Pharaon pour accomplir l’œuvre de Dieu de Dieu. C'était pour lui un obstacle ! Pourquoi ? Parce qu'elle le rendait suffisant, indépendant de Dieu. Une telle personne serait la bonne personne pour éloigner le peuple de Dieu de Lui, et le conduire dans le péché, mais la mauvaise pour la conduire à Dieu et l’éloigner du péché.
Combien est vraie la déclaration de Testimonies, Vol. 5, pg. 80 : "...Dans la dernière œuvre solennelle, peu de grands hommes seront engagés. Ils sont suffisants, indépendants de Dieu, et il ne peut se servir Dieu. Le Seigneur a des serviteurs fidèles qui, au moment du criblage, du temps de l’épreuve e l'ébranlement et de la mise à l'épreuve, seront révélés au grand jour.
Dieu ne peut aider que ceux qui savent qu'ils ne sont pas à la hauteur de leur tâche, ceux qui savent qu'ils ont besoin de son aide. Ainsi, ceux qui pensent pouvoir faire des merveilles sont ceux-là mêmes qui ne peuvent faire que du mal.
Il est manifeste que ceux que Dieu doit utiliser dans son œuvre finale, au temps de la fin, ne doivent pas ressembler au prince héritier égyptien, ni à l'érudit Moïse. Ceux qui peuvent apprendre à bien garder et nourrir les moutons et à obéir aux ordres, sont ceux à qui l'on peut enseigner comment garder et nourrir le peuple de Dieu.
La femme de Moïse était la seule Éthiopienne de toute l’assemblée. C'est pourquoi certains pensaient qu'ils lui étaient supérieurs. Ils pensaient que Moïse avait commis le péché impardonnable en épousant une personne étrangère à sa nation, comme si la race avait quelque chose à voir avec la supériorité ou l'infériorité d'un individu. La propre sœur de Moïse, Miriam, fut victime de ce péché. Elle essayait de briser sa famille, mais Moïse pria pour sa guérison lorsqu'elle fut frappée de la lèpre.
Qui entra dans la terre promise ? - Tous, à l’exception de ceux qui murmuraient. Pensez-vous pouvoir entretenir le même esprit de murmure et de plainte et recevoir malgré tout le sceau de Dieu ? - Cette idée est absurde ! Comme il serait injuste qu'un Dieu juste détruise les désobéissants de ce jour-là, mais qu'il sauve les désobéissants d’aujourd’hui.
Qu'est-ce qui a qualifié un groupe à pouvoir traverser le Jourdain ? - C'est leur confiance en Dieu, sachant qu' Il était leur Chef. Ils reconnurent Moïse et Josué comme étant ceux par qui Dieu communiquait avec eux. Ils ne les considéraient pas comme quelqu'un d'autre que ce qu'ils étaient en réalité. Ils étaient satisfaits de leur sort. Ils obéissaient aux ordres qui leur étaient donnés. C'est ainsi qu'ils furent les seuls à entrer dans le pays.